Près de ma fenêtre .
PRÈS DE MA FENÊTRE
IL Y A DES ROSES
DES OISEAUX QUI CHANTENT
ET FONT MON BONHEUR.
Paroles de:Fédora Simard .
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Quand il y en a pour un,
Il y en a pour deux.
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Puisque vous croyez au passé,
Vous devez croire en l'avenir.
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Quand un coeur est pur et tendre,
Pourais-je te comprendre?
Coucher sur un lit de roses,
Avec cinq mots bien placés,
Vous seule me comprenez .
Vouz pourrez offrir cette pensée à une personne que vous aimez bien .( Les cinq mots bien placés, se trouvent à gauche, de haut en bas ).
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Pour pouvoir ajouter des années à votre vie, ajoutez d'abord de la vie à vos années .
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Si papa dit non,
demande à grand-papa,
il dira probablement oui .
Si votre député dit non,
demandez pas au premier misistre,
il dira non lui aussi .
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Un homme sans ancêtre, est un ruisseau sans source, un arbre sans racine .
(Proverbe chinois)
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L'expérience, est le nom dont les hommes baptisent leurs erreurs .
(O.Wilde)
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À un homme, on demande son amitié pour obtenir un peu moins; à une femme, c'est pour obtenir un peu plus .
(C.A.d'Houdetot)
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On met longtemps à devenir jeune
(Picasso)
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Attache plus de prix à être un humble vertueux, qu'un riche orgueilleux .
(Cerventes)
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Le hasard, dans certains cas, c'est la volonté des autres .
(A.Capus)
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LES VIEILLES MAISONS.
Je n’aime pas les maisons neuves :
Leur visage est indifférent;
Les anciennes ont l’air de veuves
Qui se souviennent en pleurant.
Les lézardes de leur vieux plâtre
Semblent les rides d’un vieillard ;
Leurs vitres au reflet verdâtre
Ont comme un triste et bon regard
J’aime les âtres noirs de suie,
D’où l’on entend bruire en l’air
Les hirondelles ou la pluie
Avec le printemps ou l’hiver;
Les escaliers que le pied monte
Sur les degrés larges et bas
Dont il connaît si bien le compte,
Les ayant creusés de ses pas;
Le toit dont fléchissent les pentes,
Le grenier aux ais vermoulus,
Qui fait rêver sous les charpentes
A des forêts qui ne sont plus.
Sully - Prudhomme (Les Solitudes).
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Donner des racines à nos enfants,
C'est de les préparer pour l'avenir .
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Si tu coupe ton bois toi même,
Il te réchauffera deux fois .
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L'homme n'est jamais aussi grand,
Que lorsqu'il est à genoux près d'un enfant .
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Peu importe ou le vent m'emporte ! je ne peux pas l'arrêter mais je peux
orienter mes voiles.
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POÈME D'AMOUR.
Tu es l'air que je respire,
le vent qui me caresse,
la pluie qui me mouille,
le soleil qui me chauffe,
l'étoile qui me guide,
la lune qui m'éclaire,
mon univers.
La rose que je sens,
l'herbe que je touche,
les vagues qui m'emportent
vers des horizons lointains,
le sable sous mes pieds
laissant des empruntes
à chacun de tes passages.
Ta bouche qui me désire,
tes yeux qui me sourient,
tes mains qui me touches,
mon coeur qui chavire.
Tu es mes nuits et mes jours,
mes rêves et mes désirs,
ma force et ma douceur,
ma patience et ma volonté.
Dans tes bras je me sens
la plus belle des femmes,
la plus aimante,
la plus douce,
la seule, l'unique.
Dans tes yeux je me perds
et je me découvre.
Dans tes paroles
je me noie à l'infinie.
Prenons ce qui est à prendre,
donnons ce qui est à donner,
gardons ce désir, cet amour
et cette force pour l'éternité,
quoi qu'il puisse arriver.
Je t'ai aimé, je t'aime et je t'aimerai,
ta princesse entre terre et soleil.
- Anonyme -
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JE T'AIME.
Je t'aime est un mot court
Que beaucoup de gens ont prononcé sans amour
J'aimerais pour toi en inventer un nouveau
Pour te prouver combien je t'aime trop
Je pourrais te dire que tu es l'homme de ma vie
Mais ça aussi on l'a souvent dit
Que de toi je ne peux me passer
C'est vrai mais ça a été souvent répété
J'ai longtemps cherché ce qui pourrait remplacé
Ces doux mots exprimés
Mais comme je n'ai rien trouvé
Je vais simplement te répéter
Que mon coeur est rempli d'amour pour toi
Tu es ma joie, mon trésor, ma vie
Il y a pleins d'autres mots sur la terre
Pour te dire à quel point je t'aime
Mais ils n'expriment jamais vraiment
Ce que je ressens pour toi
- Hélène Marty -
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MANUEL.
Dis-moi mon ami l'arbre
As-tu vu Manuel
Je l'ai vu l'autre dimanche
Lâcher des colombes blanches
Au nez des gendarmes
Qui le croyaient fou
Il a retroussé ses manches
Noué sa corde à ma branche
Il se l'est passé au cou
Les gendarmes riaient beaucoup
Mais moi quitte à leur déplaire
Moi le chêne centenaire
Comme un roseau j'ai ployé
Pour que ses pieds touchent terre
Mais demande à la rivière
S'il ne s'y est pas noyé
Rivière, as-tu vu Manuel
Il m'a confié sa prière
Il a embrassé sa terre
Le soleil indifférent brillait bien haut
Il a choisi une pierre
Se l'ait lié en bandoulière
Il a sauté dans mon onde
Et je suis devenu bateau
Car moi je voulais qu'il vive
Moi je voulais qu'il me suive
Et loin des terres captives
Je l'ai posé sur ma rive
Mais demande à la montagne
S'il ne s'y est écrasé
Montagne, as-tu vu Manuel
Il a grimpé sur ma cîme
Pour y crier tous les crimes
Qui resteront méconnus et impunis
Il a pleuré l'innocence
De tous ses amis d'enfance
Qu'on a traînés en silence vers la nuit
Alors moi qui suis montagne
Je me suis faite vallée
Il avait la foi qui gagne
Et je me suis déplacée
Tu peux dire à sa compagne
Que je ne l'ai pas tué
Mais va donc voir jusqu'au bagne
S'il n'y est pas enfermé
Geôlier, as-tu vu Manuel
Des Manuel j'en vois grand nombre
Mais je ne connais que leur ombre
Leur fantôme qui me tourne le dos
Ils disent tous des choses étranges
Qu'il faudrait que les temps changent
Des rêveurs qui se seraient donnés le mot
Moi j'écoute sans comprendre
Je suis payé pour ne rien entendre
Moi je ne peux qu'oublier
Je n'ai pas de main à tendre
Mais demande à la lumière
Il l'a si longtemps cherché
Lumière, as-tu vu Manuel
On m'avait laissée pour morte
Mais je brille beaucoup plus forte
Car Manuel m'a rallumée
Au feu de la liberté
Nul ne pourra me soumettre
Et j'aveuglerai mes maîtres
Et j'embraserai le ciel
Car voici grâce à Manuel
Qu'on commence à me connaître à Grenade et à Teruel
On commence à me connaître à Grenade et à Teruel
Tiré du site>>>http://personal.nbnet.nb.ca/jeanloui/MANUEL.htm
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A CAUSE DE L’AMOUR.
Elle est jeune, elle est belle, elle est charmante.
Il l’étreint, il La serre, il L’enlace.
Elle se blottie, elle s’abandonne, elle se donne.
Il La caresse, il La flatte, il L’embrasse.
Elle se cramponne, elle se réjouie, elle jouie.
Un moment, Il La pénètre, Elle accepte.
Elle se lamente. Elle gémie, elle crie.
Il en redemande, elle dit oui.
Elle est contente. Elle est joyeuse, elle est enceinte.
Elle est heureuse, elle le voulait, elle le désirait.
Ce sera l’enfant désiré, l’enfant de l’amour.
Ce sera leur enfant pour toujours.
Marcel Lebrun.
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Voici un poème se raportant à la généalogie, que j'ai trouvé sur le site "Planet généalogie" et que j'aime bien. Je ne connais pas l'auteur.
Par delà l'océan...
Dans ce pays de neige, de vent et de froidure
D'une nature des plus sauvages et d'un climat encore plus dur.
Des hommes, des femmes y sont venus
Seuls les plus forts ont survécu.
Sans relâche ils ont travaillé
Tout un pays à défricher,à protéger
À partager et à défendre aussi
Seuls les plus braves ont réussi.
Toutes ces guerres qu'ils ont menées
Comment pourrais-je les oublier !
La terre où mes pieds sont posés
Porte l'empreinte de leur vie sacrifiée.
C'était des hommes, des femmes d'honneur
Qui croyaient à un monde meilleur
Ils ont donné à leurs enfants
Tout un pays, un des plus grand.
Ils m'ont laissé comme héritage
Tout leur amour et leur courage
Dans mes veines coule toujours le sang
De femmes et d'hommes venus par delà l'océan...
À mes ancêtres venus d’ailleurs...
Plume*